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Dévoilement de la fitnah des mousa’fiqoun


Les protocoles des suiveurs aveugles mous’afiqah

1. Suivre aveuglément celui qui est en erreur dans le tabdî’, tadlîl et tajdî’ oppressifs, prématurés et non justifiés d’étudiants en sciences islamiques connus et de chouioukh ayant des recommandations et des efforts dans la da’wah à cause d’erreurs prétendues, perçues ou même réelles.

2. Propager cela partout sur les réseaux sociaux et demander que cela soit accepté sans questionnement et sans fournir de preuve qui soit à la hauteur et justifie la sévérité des jugements émis.

3. Lorsque les grands savants disent ”ça suffit maintenant !’’ -après leur échec à fournir des preuves pour leurs jugements- et lorsqu’ils arrêtent leur caravane, la démantèlent et confisquent leurs marchandises, mettant par cela fin à leur fitnah, ils se mettent à les accuser d’avoir ‘’un entourage malveillant’’, d’être ‘’devenus vieux’’ et d’être ‘’menés par d’autres’’.

4. De même, ils accusent quiconque n’ayant pas rejoint leur caravane et n’ayant pas accepté leurs jugements infondés de faire du ‘’taqlîd’’ (suivi aveugle) de Cheikh Rabî’ et d’avoir de l’exagération (goulouww) envers lui -exactement comme l’ont fait les suiveurs d’Abou-Hasan Al-Maribî, Fâlih Al-Harbî, Yahyâ Al-Hajourî et d’autres.

5. Ils essayent de faire oublier aux gens le fondement, le coeur même de l’affaire -et c’est qu’il est maintenant prouvé qu’ils sont des oppresseurs ignorants et des suiveurs aveugles– en faisant des écrans de fumée et en mettant en place des miroirs afin de détourner les gens du coeur même de l’affaire.

6. Ils utilisent des comptes sur les réseaux sociaux afin de propager la haine, les idées fausses, les mensonges, les diversions et les ambiguïtés après que leur faillite en termes de preuves ait été déclarée et mise en évidence- exactement ce qu’un mauvais perdant ferait.

Source : Abu Iyâd Amjad Rafeeq


Les Mousa’fiqah sont un groupe de suiveurs aveugles ignorants et oppresseurs qui acceptent le tabdî’ (juger autrui innovateur), le tadlîl (juger autrui égaré dans la religion) et le tajdî’ (amputer, isoler, couper des gens du Corps des Gens de la Sounnah) d’étudiants en sciences islamiques bien connus et de chouioukh sans preuve qui justifie des jugements aussi extrêmes, durs et puissants.

Les erreurs prétendues, perçues comme telles ou réelles qui leur sont imputées ne justifient pas cette injustice. Relis cette dernière phrase trois fois et tu comprendras toute l’affaire et tu seras alors capable de voir juste à travers toutes les ambiguïtés et les preuves prétendues des Mousa’fiqah. Ils furent libres de faire jusqu’à la mi-2017 et les grands savants se sont alors dressés afin de réfréner leur mal et de rejeter leur oppression et leur transgression.

Il y a dans cette section des ressources utiles préparées qui peuvent s’avérer bénéfiques si tu rencontres les Mousa’fiqah Sa’âfiqah. Ils sont les suiveurs aveugles oppresseurs qui pensent traiter une maladie sans réaliser qu’ils sont eux-mêmes la maladie même. Exactement comme les suiveurs d’Al-Maaribî et d’Al-Hajourî avant eux. Ils amènent les mêmes ambiguïtés et accusations de taqlîd (suivi aveugle) de certains savants et de ghoulouw (exagération) envers ces savants. Ceci est après qu’il soit apparu clairement qu’ils n’ont aucune preuve pour le tabdî’, tadlîl et tajdî’ au sujet desquels ils ont aveuglément suivi d’autres.

La manière la plus rapide et la plus efficace de les arrêter sur place est de leur demander les preuves qui prouvent que ceux qu’ils dénigrent sont :

  • Des innovateurs, des gens des passions (comme le tabdî’ a été fait à leur sujet)
  • Egarés dans les fondements (ousoul) de leur religion (comme le tadlîl a été fait à leur sujet)
  • Qu’ils doivent être boycottés (comme le tajdî’ a été fait à leur encontre)

Tu remarqueras qu’ils amèneront des erreurs prétendues, perçues comme telles ou réelles. Cependant, ils n’ont rien qui justifie les trois affaires précitées (tabdî’, tadlîl, tajdî’). Car lorsque quelqu’un parmi les Gens de la Sounnah se trompe, il est alors traité d’une certaine manière selon laquelle son honneur et son statut sont préservés.

On ne met pas en garde contre lui, il n’est pas dénigré ni maltraité. Quant à ce qui a été fait par les Mous’afiqah et leurs leaders cela est de l’oppression et de l’injustice et cela est une manifestation de la méthodologie des Haddâdis et en fait même pire pour les raisons qui vont apparaître clairement. Ils sont incapable de fournir la moindre preuve que ceux qu’ils attaquent et dénigrent ont transgressé un fondement des Gens de la Sounnah, qu’ils ont été conseillés, corrigés, que la preuve a été établie contre eux et qu’ensuite ils ont persisté dans le faux pour qu’ils reçoivent un traitement aussi dur à leur encontre qui implique des jugements aussi oppressifs. Cela en plus du bouleversement que cette injustice a causé dans la da’wah à de nombreux endroits à travers le Monde.

Leurs cibles primaires sont Cheikh Rabî’ bin Hâdî et Cheikh ‘Oubayd Al-Jâbirî. Cependant leurs attaques contre ces chouioukh ne sont que par intermédiaires pour le moment (c’est-à-dire qu’elles sont indirectes) dans le sens où ils ciblent les élèves de ces chouioukh ainsi que tous ceux qui ne les suivent pas aveuglément dans leurs dénigrements injustes. Cela ne va pas durer avant que leurs attaques soient plus effrontées et plus directes. En ce moment, leurs insinuations sont déjà claires: Cheikh Rabî’ est vieux, il est malade, il est entouré par un cercle restreint malveillant, on lui impose des choses, il est mené par d’autres (comme l’animal est mené au point d’eau !) etc. Certaines de ces choses ont été entendues lors des fitan précédentes lorsque ceux qui ont dévié furent dépourvus de preuves pour le faux dans lequel ils étaient.

Cheikh Rabî’ a dévoilé les premiers Haddâdis et a réfuté leurs ambiguïtés il y a plus de 20 ans. Parmi eux Mahmoud Al-Haddâd puis ‘Abdel-Latîf Bâchmîl. Puis il a réfuté ceux à l’instar de Fâlih Al-Harbî puis après lui Yahyâ Al-Hajourî. Il est étrange que les Mousa’fiqah acceptent toutes ces réfutations mais maintenant tout-à-coup -quand le cheikh pointe encore une nouvelle manifestation de la Haddâdiyyah contre les Salafis- le cheikh est devenu vieux et malade et il est mené par d’autres et d’autres lui imposent des choses. Ce sont des toutes des injures en vérité et ces gens ne font en fait que suivre le même chemin que les suiveurs des figures de proue précitées.


Source : Abu Iyaad Amjad Rafeeq (www.manhaj.com).